vendredi 25 novembre 2011

Brésil : Paraty et Ilha Grande

Depuis Bonito, je pars pour la côte afin de goûter enfin au plaisir des plages brésiliennes. Après 24h de voyage, 4 bus, 2 avions et 1 moto-taxi, j'arrive enfin à Paraty, petite ville coloniale au sud de Rio. La ville est très touristique mais le vieux quartier a beaucoup de charme.


Le lendemain, sur les conseils en bois d'une employée de l'auberge de jeunesse, je pars pour un tour en kayak qui devait m'amener sur différentes plages bien sympas. Au final, le tour passait juste par une plage qui ne valait pas franchement le détour. Je suis déçu parce que on m'avait vendu quelque chose de complètement différent et c'est dommage parce que sinon le tour en lui-même était sympa.
L'ambiance à l'auberge de jeunesse n'étant pas fofolle, je décide de ne pas m'attarder et je pars pour Ilha Grande où j'arrive en fin de journée. L'ambiance sur l'île est super, pas de voitures, tout le monde se déplace à pied, ça sent vraiment les vacances. Le lendemain, je pars avec un belge et une argentine à la plage Lopes Mendes où nous arrivons après 2h de marche. En chemin, on croise des petits singes tout mignons qui ont l'air d'apprécier la pomme.


La plage est magnifique, très étendue et aucune trace d'urbanisation. Pour cause d'heure tardive, nous choisissons de rentrer en bateau.
Le lendemain, je décide d'aller à Lagoa Azul, un endroit réputé pour le snorkeling mais plutôt que d'y aller en bateau comme tout le monde, je choisis d'y aller à pied. Et c'est parti pour 3h de marche, le seul souci étant que j'ai juste une carte fournie par l'auberge et que ça manque un peu de précision. Pour ne rien arranger, je la perds en chemin (et je la retrouve en rentrant d'ailleurs). Au bout d'un moment, je perds carrément le chemin. Pas de problème, je vais continuer à travers la forêt, je finirai bien par arriver quelque part. Erreur, au bout d'un moment, ça devient tellement dense que je ne peux plus avancer. Du coup, je coupe au plus court pour retourner sur la rive où je ne suis pas beaucoup plus avancé. Pas moyen de marcher le long de la côte ou dans l'eau. Comme je pense ne pas être trop loin, je décide de laisser mon sac à dos sur les cailloux et de continuer à la nage. Après une vingtaine de minutes, j'arrive sur une plage assez sympatoche, qui plus est quasi déserte.


Je demande à une des rares personnes présentes sur la plage si je suis proche de Lagoa Azul. Apparemment, je suis dans la mauvaise direction. Et c'est reparti pour quelques longueurs. Je finis par arriver sur une autre plage, pas franchement très propre et bizarrement pas très fréquentée. Du coup, personne pour demander mon chemin. Comme l'après-midi est déjà bien entamée, je décide de rentrer. Renseignement pris à l'auberge après, il n'y a pas moyen d'aller à Lagoa Azul à pied. Je le saurai pour la prochaine fois.
Le lendemain, je décide de m'enchainer deux randonnées. Je commence par monter au pico de Papagaio, une des montagnes de l'île. La montée est franchement longue et raide mais le chemin est comme je les adore, étroit, dans la forêt, silencieux. La fin de la montée est assez acrobatique (plus de l'escalade qu'autre chose) mais une fois en haut la vue est magnifique.


Je fais la descente en quatrième vitesse (pas facile de perdre les habitudes) et enchaîne sur un petit tour à la plage Dois Rios. Malheureusement, le chemin qui y mène est une piste (la seule de l'île), assez large et sans charme. J'arrive vers 5h là-bas mais je ne peux pas rester très longtemps car il faut environ 2h pour rentrer et la police s'assure que tout le monde reparte assez tôt pour rentrer avant la nuit. Au passage, c'était encore une plage magnifique.
Le lendemain je quitte l'île direction Rio. Au final, une expérience assez mitigée à Paraty (à refaire) et des super moments à Ilha Grande, plages magnifiques, randos très sympas, tranquillité (pas de voiture).

mercredi 23 novembre 2011

Brésil : Bonito

Après un transfert sans histoire, j'arrive à Bonito en fin d'après-midi. Cette ville est la capitale de l'écotourisme au Brésil et est particulièrement connue pour ses rivières à l'eau très claire où l'on peut observer de nombreuses espèces de poissons. Je pars le lendemain pour faire la rivière la plus réputée, Rio Da Prata. L'excursion commence par une petite marche d'approche de 40 minutes dans la jungle, juste le temps de bien transpirer et de subir une attaque en règle des moustiques.


On enfile les combis (pratique pour flotter sans effort), un tuba, un masque et c'est parti. L'eau est d'une clarté ahurissante, 30 mètres de visibilité, des poissons dans tous les sens et un décor de rêve perdu au milieu de la jungle. On ne penserait pas que c'est une rivière non ?


Un peu d'appréhension avant de mettre l'appareil photo sous l'eau pour la première fois (il a déjà subi quelques chutes et la coque est un peu endommagée), mais tout va bien il résiste.


On se laisse tranquillement porter par le courant, à observer les poissons, c'est absolument magique. On a l'impression de nager dans un aquarium.



Evidemment, l'endroit se prête tout particulièrement à un numéro d'élébonistes sans frontières.


Sur la fin de la descente, je fais un peu d'apnée statique. Je retrouve les sensations que j'adore, le bruit s'arrête (pas beaucoup de circulation au milieu de la jungle ;-), mes mouvements s'arrêtent (je me laisse porter par le courant), ma respiration s'arrête, la gravité s'arrête (je suis porté par l'eau) et au final, j'ai l'impression que pour un instant tout est suspendu, que le temps s'est arrêté, une sensation absolument géniale.
Malheureusement, il faut sortir de l'eau et reprendre une activité normale comme dirait PPD.
Au final, encore un endroit absolument magique. Je ne pensais pas qu'il était possible de trouver une rivière avec une telle visibilité au milieu de la jungle.

lundi 21 novembre 2011

Brésil : Pantanal

Depuis Iguazu, je passe au Brésil et embarque pour une nuit de bus direction Campo Grande, près de la frontière avec la Bolivie. Cette ville est une des portes d'entrée pour le Pantanal, une immense zone humide où l'on peut observer une grande variété de plantes et d'animaux. J'arrive à Campo Grande en début de matinée après une nuit dans le bus et enchaine directement pour un tour de 4 jours dans le Pantanal. C'est parti pour 3h de transfert et on arrive au campement en milieu d'après-midi. Le premier contact avec le guide n'est pas très bon, il est du genre malpoli, condescendant et antipathique, ça commence bien.
Après le repas, on part pour un petit tour de nuit dans le marais pour aller observer les alligators et au passage se faire bouffer par les moustiques.


Le lendemain matin, petit session de pêche de piranha pour le repas du midi. Ne pas hésiter à mettre les pieds dans l'eau pour attirer la bête.


Nous ne sommes pas les seuls à apprécier un bon piranha pour le déjeuner.


L'après midi, petit tour à cheval. Malheureusement, à part 3 aras bleus magnifiques, on ne verra pas grand chose.


Un ara vient nous rendre visite au campement, il a l'air d'apprécier le gateau.


Le lendemain, petite rando, encore une fois pas grand chose à se mettre sous la dent, un petit anaconda pour la route.


Une photo d'une famille de capybara, le rongeur le plus gros au monde.


N'étant pas franchement emballé par la qualité du tour (doux euphémisme), je décide d'écourter mon séjour et de partir un jour plus tôt à Bonito.

vendredi 18 novembre 2011

Argentine : Iguazu

De retour à Buenos Aires après mon escapade en Uruguay, j'enchaîne avec un bus de nuit (19h quand même) pour Puerto Iguazu, ville au pied des célèbres chutes d'Iguazu du côté argentin. Je me pose dans une auberge de jeunesse pas exceptionnelle, comme vous pouvez en juger sur les photos.


Le lendemain, je pars pour l'exploration des chutes. Pour être exact, il ne s'agit pas d'une chute mais d'un ensemble de 275 cascades larges de 2,5 km environ. Je commence par les passerelles en bas des chutes, du côté droit. On peut vraiment s'approcher au plus près des chutes et prendre une bonne douche, ce qui ne fait pas de mal vu la température. Je pars ensuite faire un tour de bateau au pied des chutes. On se retrouve vraiment au pied des cascades, complètement trempé, le spectacle est impressionnant. Une petite vue d'ensemble depuis le bateau.


Après cette deuxième douche, je pars sur les passerelles supérieures d'où la vue n'est pas dégueu non plus.


Je garde le meilleur pour la fin, "Garganta del Diablo", la plus haute des cascades, qui du haut de 90 mètres déverse jusqu'à 6 millions de litres d'eau par seconde (dixit Wikipedia). Le spectacle est fascinant.

Après ce magnifique spectacle, je rentre à l'auberge et pars le lendemain pour Campo Grande au Brésil.

mercredi 16 novembre 2011

Uruguay: Colonia

Après ce long tour en Patagonie, je retourne à Buenos Aires où je retrouve Lauriane. Nous partons en début d'après-midi pour Colonia, petite ville d'Uruguay située en face de Buenos Aires (1h de ferry). En arrivant, c'est le choc. Après le bruit, le monde, l'effervescence de Buenos Aires, on a l'impression d'arriver sur une île des Caraïbes (enfin l'image que je m'en fais). Très peu de circulation, des rues pavées, des maisons basses, du soleil, des vieilles voitures, je comprends que beaucoup de gens m'ait recommandé cet endroit.


Nous passons la soirée en bord de mer, resto en terrasse, coucher de soleil sur la plage, un régal.


Le lendemain, nous partons faire un petit tour à la plage (pas foufou, l'eau est marron) et ensuite nous repartons flâner dans la ville en attendant le ferry du retour.



Au final, une escale bien reposante, je recommande fortement le détour.

dimanche 13 novembre 2011

Argentine : Villa La Angostura

Quand j'ai planifié mon voyage, il n'était pas prévu que je passe par Villa La Angostura. Lors d'une soirée en juillet avec des potes triathlètes, l'un d'eux m'a fait remarquer que je ne ferais pas de compétition pendant 1 an et que ce serait un peu dommage de perdre le niveau que j'avais atteint grâce à ma préparation pour l'Ironman. Du coup, je me suis mis à la recherche de courses à pied qui pourrait rentrer plus ou moins dans mon planning et c'est comme ça que je suis tombé sur ce trail à Villa La Angostura.
J'arrive donc dans le village la veille de la course pour récupérer mon dossard et assister au briefing. Tout le monde à l'auberge de jeunesse est là pour la course, l'ambiance est super conviviale, beaucoup d'argentins, deux uruguayens, un brésilien, un belge et une australienne. Le gros point d'inquiétude pour demain, ce sont les cendres. Autant à Bariloche, ça avait été, autant là, le nuage de cendres est tellement dense qu'on ne voit plus les montagnes aux alentours. Plusieurs coureurs ont acheté des masques pour la course. Tout est couvert de cendres, c'est impressionnant.
Le lendemain matin, je retrouve l'ambiance d'avant course que j'adore. Tout le monde est très concentré, chacun prépare son matériel, son ravitaillement, chacun a son propre rituel, on sent l'adrénaline qui commence à monter. Vers 9h30, on se dirige vers la ligne de départ. Je me sens un peu comme un intrus, tout le monde semble très préparé, guêtres pour se protéger des cendres, chaussettes de compression, ceinture ou sac à dos pour le ravito, lunettes, bâtons. Autant dire que moi avec ma bouteille d'eau dans une main et mon appareil photo dans l'autre, je fais touriste. Pas grave, c'est pour ça que je suis là, mon seul objectif est de me faire plaisir, ne pas me blesser et pouvoir continuer à voyager après sans être trop amoché. Et ce d'autant plus que ma "préparation" a été assez limitée, voire inexistante. Courir moins de 10 fois en 4 mois, ce n'est pas vraiment le meilleur moyen de préparer ce qui est, d'après l'organisation le marathon le plus dur d'Amérique du Sud avec au programme 42 kilomètres et 4000 mètres de dénivelé positif. Départ à 10h, les premiers kilomètres sont plats ou en légère montée. Je décide de partir doucement, la journée va être longue. Assez rapidement, on arrive à la première difficulté, une montée de plusieurs kilomètres assez raide. Comme c'est le début de la course, on est encore très groupé et on se retrouve à monter en file indienne.


Ca commence à écrémer dans la descente qui est assez technique. Je m'accroche à un petit groupe de filles mais elles envoient du lourd et je les perds après quelques kilomètres. La suite jusqu'au kilomètre 25 est une alternance de montées et descentes, en majorité sur des petits chemins juste assez larges pour une personne, un régal. Au kilomètre 25, on attaque la dernière grosse difficulté, la montée au Cerro Bayo. Après 5h de course, on peut voir que tout le monde est fatigué, ça ne monte pas très vite. L'arrivée au sommet est une délivrance, plus que 8 km de descente ou de plat. Malheureusement, la descente est super raide et technique et mon pied gauche me taquine de plus en plus. Du coup, je fais la descente avec le frein à main et je marche pas mal. Les derniers kilomètres sont assez difficiles, beaucoup de cendres dans l'air, ça rentre dans les yeux et la bouche (pas idéal pour respirer). Je termine finalement en 6h31 (306 sur 573), je ne pensais que ça serait aussi difficile et exigeant. C'est vraiment différent de courir sur du plat comme ce fut le cas pendant le marathon de Bruxelles ou l'Ironman de Nice.
Oui le gris dans mes cheveux, c'est dû aux cendres.


Une petite vidéo de ma course. Tout le sable, le gris que l'on voit, ce sont des cendres.


Après une bonne douche et quelques étirements, place au réconfort, la bière commence à couler à flots. Programmer la soirée d'après course le même jour, c'est un peu rude mais personne ne se défile. On va à la soirée avec le groupe de l'auberge, on rigole bien. Je rends les armes sur les coups de 3h du mat et pars retrouver Morphée pour un repos bien mérité.
Au final, une super course, je me suis vraiment éclaté sur ces petits chemins et l'ambiance était au top. Ca donne envie de revenir sur ce type de course avec une vraie préparation.

jeudi 10 novembre 2011

Argentine : Bariloche

Après ce séjour enchanteur dans le sud de la Patagonie, je pars pour le Nord à Bariloche où je retrouve Lauriane, une copine de Belgique. Bariloche se trouve dans la région des lacs, endroit qui était encore très touristique il y a peu mais depuis que le volcan chilien envoie régulièrement des tonnes de cendres sur cette région, le tourisme s'est drastiquement réduit (en hiver 100% d'occupation, cette saison 18%). En arrivant, je ne remarque pas trop les cendres, ce qui ne sera pas le cas par la suite.
Le lendemain, je pars faire du rafting sur le rio Manso. Les guides annoncaient du classe IV mais franchement je suis un peu resté sur ma faim même si on pourrait croire sur la photo que ça envoyait bien.


Le lendemain, Lauriane et moi partons pour un tour à vélo autour des lacs. Pour le pique-nique, on se pose sur une plage déserte absolument magnifique, l'eau turquoise, le lac, la montagne en fond, un vrai régal. On aurait envie de rester là pour la journée.


Evidemment, avec un endroit pareil, il fallait que j'aille faire un petit plouf, assez frais quand même.


On repart un peu à contrecoeur pour la suite du tour. Les vues sont magnifiques.


Petite pause café avec une vue pas dégueu.


A la fin du tour à vélo, nous montons au Cerro Campanario (on avait encore de la pélicule). Comme d'hab, petite vue sympa.


Le soir, Lauriane m'invite au resto (fallait pas perdre au billard ;-), on se fait un bon gros steak qui passe bien après cette journée magnifique.

vendredi 4 novembre 2011

Argentine : El Chalten


Après une courte escale à El Calafate, je pars pour El Chalten, capitale argentine du trekking qui se trouve au pied des fameux Fitz Roy et Cerro Torre, montagnes réputées comme étant parmi les plus difficiles au monde à escalader. J'arrive en fin de soirée et j'ai la chance d'avoir un ciel dégagé et de voir pour la première fois le Fitz Roy. Le lendemain, je pars pour faire la rando "Laguna de los Tres" qui m'amène au pied du Fitz Roy. Le chemin est assez facile, hormis les derniers kilomètres très raides et j'arrive au bout en 2h30. La vue pendant le chemin et à l'arrivée est magnifique.




Je redescends tranquillement en compagnie de français rencontrés sur le chemin en passant par laguna Capri.


Le lendemain, je pars pour faire la rando "Laguna Torre" qui offre une magnifique vue du Cerro Torre. Encore une fois, je suis très chanceux avec le temps, pas un nuage à l'horizon alors que le Cerro Torre est à 95% du temps masqué par les nuages. En chemin, je rattrape Arjan et Nanda, le couple de hollandais avec qui j'avais voyagé dans le nord de l'Argentine et que j'avais recroisés quelques jours avant à El Calafate. J'ignorais qu'ils étaient dans le coin mais le hasard a fait qu'on s'est revu. On termine l'ascension ensemble et on arrive au lac en 2h30 environ. Encore une fois la vue envoie du lourd. Vous commencez à me connaître, en tant que créateur d'élébonistes sans frontières, je n'ai pas pu résister à l'envie d'aller tester l'eau. Pour cause d'un petit souci technique, pas de vidéo mais quand même quelques photos. Allez on se motive.






Note à l'attention de moi même, la prochaine fois, ne pas oublier les chaussures, c'est que c'est acéré un iceberg. Autant l'eau au Perito Moreno était froide, autant là elle est vraiment glacée. Je ne recommande pas la baignade à la laguna Torre. En plus, pas moyen de faire un ventriglisse sur l'iceberg sous peine de perdre quelques litres de sang. Après ça, nous rentrons tranquillement à El Chalten.
Le lendemain, petite journée tranquille avec Arjan et Nanda, on fait un tour au mirador des condors mais ils ne sont pas au rendez vous.
Le lendemain, je refais la rando du Fitz Roy (c'est que c'est beau quand même) et pousse un peu plus loin pour aller voir le glacier. Encore une fois le beau temps est de la partie même si quelques nuages restent accrochés au Fitz Roy.


Le lendemain rebelote, je remonte au Fitz Roy mais cette fois ci en courant histoire de me préparer un peu pour mon trail.
Le lendemain, je pars sur une autre rando avec un belge et un américain rencontrés à l'auberge de jeunesse. Arrivés en haut, on a encore une belle vue du Fitz Roy mais le Cerro Torre reste caché dans les nuages. Par contre, on a la chance de voir plusieurs condors.
Le lendemain, après une grosse soirée bières à l'auberge, je ne fais rien.
Le lendemain pour compenser, je me fais les randos "Laguna de los Tres" (4e fois) et "Laguna Torre" (2e fois) en un plus de 6h.
Le dernier jour, je remonte à laguna Torre (3e fois) et pousse un peu plus loin le chemin pour avoir une belle vue du glacier, avec encore une fois un temps magnifique.






Au final, des treks magnifiques, un temps superbe toute la semaine (j'ai eu une chance exceptionnelle de voir le Fitz Roy quasiment tous les jours et le Cerro Torres plusieurs fois), avec en plus pas trop de monde car on était encore hors-saison. Avec Torres del Paine, le Perito Moreno et maintenant le Fitz Roy, je viens d'enchainer des paysages exceptionnels, je commence à être à court de superlatifs.